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D'après une étude menée par l'agence Advernomics de Cologne1, 76 % des personnes accueilleraient favorablement l'objet publicitaire et 73 % voudraient qu'il y en ait plus. Il a été établi que l'objet avait une valeur affective supérieure du fait qu'il soit considéré comme un cadeau et non simplement un outil de communication. Ainsi, l'étude révèle que 72 % des personnes mémorisent le nom de l'entreprise contre un score plus faible de 49 % pour les spots télévisuels.
Un objet publicitaire peut avoir plusieurs intentions pour l'entreprise qui choisit de l'utiliser2,3. En effet, un objet publicitaire peut être marqué ou non (personnalisé avec le logo de l'entreprise par exemple) et être offert dans un but marchand ou non. L'objet peut être donné sans but de créer un lien avec l'achat final (notoriété, image, relation client). Il peut aussi servir clairement de lien avec un achat futur (fidélisation, parrainage, stimulation).
Sommaire
Droit français
La valeur maximale autorisée d'un cadeau publicitaire dépend du prix de vente net TTC de l'article acheté. Si le prix de l'article est inférieur ou égal à 80 euros, elle s'élève à 7 % de ce prix. Dans le cas contraire, elle vaut 5 euros plus 1 % de ce prix.De plus, le cadeau doit faire l'objet d'un étiquetage spécifique (« Échantillon gratuit, ne peut être vendu » et indication du commanditaire de la publicité)4.
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